18/08/2011
rose bayle à @
Bonjour,
Je sors du bureau de la Poste de Grignan, vous recevrez donc bientôt, mon envoi qui
part avec le courrier, aujourd'hui.
Cordialement rb
19/08/2011
@ à rose bayle
Merci pour vos mails. J'attends donc votre texte.
Très cordialement
23/08/2011
@ à rose bayle
J'ai recu votre tapuscrit hier. Je commence sa lecture...
Bien à vous
24/08/2011
@ à rose bayle
Chère Madame,
Je viens d'achever la lecture de votre tapuscrit qui m'a
vivement intéressé. L'architecture du livre est surprenante, mais je me suis
laissé prendre au jeu et ai trouvé un vif intérêt à vous lire, d'autant plus
que vous écrivez fort bien.
Voulez-vous que je vous réenvoie le texte ? Sinon je vous
propose de le garder jusqu'à votre prochain passage à Paris au cours duquel
j'espère bien que nous pourrons nous voir pour en discuter.
Très cordialement
26/08/2011
rose bayle à @
Cher Monsieur,
Merci pour votre si aimable appréciation, qui m’apparait tel
un rêve. Cela m’est, à la fois soulagement et encouragement. VRAIMENT MERCI.
La veille de votre dernier mail, je lisais dans la
Correspondance de Mme de Sévigné (p597, tome 2, en Pléiade), une lettre de Bussy
Rabutin. Il soumettait à l’approbation de sa cousine, Mme de Sévigné, ses nouveaux écrits
d’historien :
bJe voudrais bien plaire à
tout le monde, (….),
je veux dire à tous les honnêtes gens, mais au moins,
je
préfèrerais votre approbation à toutes les autres,
si je n’en pouvais avoir
qu’une.
Ce que je vous envois, pour vous en faire réponse.
Hier, jeudi 25 aout, au café de Grignan, une fois votre mail
consulté, et forte de cela, j’ai commencé une nouvelle lecture, de mon Facteur
Grignan, que je suis allée poursuivre à la Bégude de Mazenc, au Café des
Platane, en face du parc du château Loubet, où j’ai passé l’heure du repas, en
commandant une salade de tomate. De là, je suis allée à Marsanne, où j'ai à nouveau fait halte. Et puisque
j’étais près de Montélimar, je suis allée dans un garage, en pourtour de ville,
pour faire enfin changer les 2 pneus avant de ma voiture, qui en avaient bien
besoin et où, en attendant, j’ai pu continuer à lire. A 18H45, de retour vers
Grignan, je suis revenue par la Bégude où je me suis à nouveau arrêtée une
dernière fois, pour arriver à l’ultime page, avant la tombée de la nuit. Sans
l’avoir voulu, ni fait exprès, rétrospectivement, il me semble, que ce jour là,
il me fallait en passer par là, dans ces
lieux de Loubet, sur les pas de Boni, dans cette Drôme familière, pour vous en rendre compte, ainsi qu’un accusé de
réception…
Bien cordialement depuis Grignan rb